Jeanne d’Arc – Une épopée en trois tableaux

Oratorio en trois tableaux,  texte de Charles Péguy
Jeanne, Mezzosoprano; la voix soprano; récitant; choeur SAB; choeur de jeunes
I – Domrémy (violoncelle, orgue) 24′ env.
II – Les grandes batailles (cor, violoncelle , orgue) 27′ env.
III – (hautbois jouant cor anglais, cor, violoncelle, orgue)

« J’ai souhaité pouvoir proposer une création originale qui allie poésie, sens et beauté. L’œuvre de Péguy m’est apparue comme une évidence, permettant de conjuguer la figure de Jeanne d’Arc et la célébration des 150 ans du poète orléanais. » Eric Raffard « Quand le Chœur Orléans Val de Loire et Eric Raffard m’ont proposé de composer une nouvelle œuvre inspirée de Jeanne d’Arc sur le magnifique texte de Péguy, je me suis plongé dans ses vers qui m’ont fait remonter le temps et me trouver aux côtés de Jeanne, espérant ressentir ce qu’elle a pu ressentir. » Jean Christophe Rosaz

Description

                                     

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Quand Eric Raffard et le chœur Orléans Val de Loire m’ont proposé d’écrire un triptyque sur le beau et fort texte de Charles Péguy qui reste d’une modernité confondante, j’ai tout de suite été enthousiasmé par les diverses ambiances qu’il éveillait en moi. La grande richesse de ce long poème à la portée universelle m’a semblé évidente.

Nous avons tout d’abord travaillé ensemble pour définir la forme du livret en prenant conseil auprès de Jean-Pierre Sueur spécialiste de l’œuvre de Péguy. 

J’ai veillé tout au long de la composition à ce qu’une certaine unité se dégage malgré l’association de musiciens professionnels et de chanteurs amateurs : on y trouve en effet, réunis : une voix soliste dédiée à une chanteuse professionnelle, une voix d’enfant solo, un chœur de jeunes, un chœur amateur et des instrumentistes professionnels. Ces derniers sont un violoncelle et un orgue pour la 1ère partie (enfance et appel) auxquels s’ajoutent un cor pour la 2ème partie évoquant le temps des batailles et un cor anglais jouant le hautbois pour la 3ème qui relate la solitude de l’héroïne.

Jean-Christophe Rosaz