La Jérusalem Céleste

Pour grand orgue solo – durée 25′ environ

Première mondiale par Pascale Rouet à l’orgue Stahlhuth-Jann de l’église Saint-Martin de Dudelange, Luxembourg.

C’est dans l’idée d’anticipation de la bienheureuse Jérusalem Céleste que la forme générale de cette pièce a été puisée: I La Montée à Jérusalem II La Jérusalem Céleste La première partie représente les différentes attentes de la Ville Sainte : fête prémonitoire de la Dédicace, exil et captivité loin de Jérusalem détruite, pleurs de Jésus lui-même à la vue de cette ville en ruine. La seconde partie ne peut être elle-même qu’une anticipation : ainsi le jeu d’écho s’ouvre et se ferme sur un nuage d’harmoniques, image des portes de la Bienheureuse Jérusalem laissant entrevoir la Vraie Vie à venir.

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I Dédicace des Remparts de Jérusalem
De très loin, on entendit la joie de Jérusalem. (d’après Néhémie 12, 43)

Exil et captivité
Jérusalem
Porte de l’Orient
Mon coeur en exil pourtant
Dans la nuit te voit si bien
Contre Toi, la Cité de Dieu
Se peut-il que le feu…
A présent seule
Résiste une tour
Qui demain
Sera
Cendres
Qui sait
Où la paix s’en est allée?

Lamentation
… La ville s’étendit sous ses yeux,
Lui semblant si proche;
Alors,
Sur elle
Il pleura. (d’après Evangile selon Saint Luc 19, 41)

II La Jérusalem Céleste
L’ange, en esprit, me transporta sur la montagne…
Et je vis, descendant du Ciel,
La Cité Sainte, la Jérusalem Nouvelle,
Désormais, Dieu demeure parmi les hommes…
L’ancien monde s’est enfui
Et la mort n’est plus,
Ô combien Il fait toute chose nouvelle!
(d’après Apocalypse 21, 10, 2-4)

 

 

Description

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« Le diptyque pour orgue m’a beaucoup séduit, le discours m’y semble conduit avec beaucoup de logique; j’aime la richesse des harmonies, la fluidité des lignes. » Alain Mabit
 » Une pièce d’un grand intérêt musical et créatif  » Robert Coinel
« Eine grosse, neue französische Orgelmusik, dass klinget sehr reizvoll und aufregend  » Arwed Henking
 » J’ai déchiffré avec plaisir votre œuvre, qui m’a séduit par son aspect improvisatoire, l’absence de développements académiques et l’emploi de l’instrument, mon impression est très bonne « Guy BOVET