Island / Shlomo Artsi – for choir SATB & keyboard
duration: circa 4′
music and lyrics: Shlomo Artsi
arrgt. Jean-Christophe Rosaz
revision: Shaya Feldman
A wonderful love song that inspired me this arrangement
Description
Here the morning begins again, again we open our eyes
Here is your song again you wake up to the world.
I get up first, there are still little things go, and let’s settle them,
so that it is perfect.
Here again you become dependent on feelings
and you tell that you dreamed of me at night,
that I brought you flowers,
little kisses in the morning,
little kisses in the evening,
look outside, the skies are lighting up.
Only, sometimes, in the middle of a laugh, on the face,
a storm is raging here, like in Iceland,
what happens to us when we are bad inside?
you come back from the big cold
I come exposed to lightand I hug you,
with a caress that never endsand I whisper:
« if you weren’t here, I wouldn’t have tomorrow ».
Here the morning begins again,
again we open our eyes you’re far away like San Francisco
and you tell me get closer little kisses in the morning,
I kiss your eyesand asks you if you want a coffee,
and actually I mean I like it.
–
Voici que de nouveau commence le matin,
de nouveau nous ouvrons les yeux
Voici encore ta chanson tu te réveilles au monde.
Je me lève le premier, il y a encore des petites choses
allez, et réglons-les, afin qu’il soit parfait.
Voici qu’encore tu deviens dépendante des sentiments et tu racontes
que tu as rêvé de moi la nuit, que je t’ai apporté des fleurs,
des petits baisers le matin, des petits baisers le soir,
regarde dehors, voici que les cieux s’illuminent.
Seulement, parfois, au milieu d’un éclat de rire, sur le visage,
une tempête se déchaîne ici, comme en Islande,
que nous arrive-t-il quand on est mal dedans ?
tu reviens du grand froid
je viens exposé à la lumière
et je t’enlace, d’une caresse qui ne finit pas
et je chuchote : « si tu n’étais pas là, je n’aurais pas de demain ».
Voici que de nouveau commence le matin,
de nouveau nous ouvrons les yeux
tu es loin comme San Francisco et tu me dis rapproche-toi
des petits baisers le matin, je t’embrasse les yeux
et te demande si tu veux un café, et en fait je veux dire que j’aime.