Desert song – for solo violin

Pour imzad – durée 2’40 environ

Homage à l’imzad et ses interprètes

version disponible: pour violon

« L’imzad est aux Touareg ce que l’âme est au corps » Amenokhal Feu Hadj Moussa Akhamok

 

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Description

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« L’Imzad est une vièle monocorde qui nous vient de la nuit des temps. Cet instrument est exclusivement réservé aux femmes. Sur un air d’imzad, l’homme chante. Et seul le son de la voix de l’homme est admis à se mêler à celui de l’instrument. » Farida Sellal

« L’imzad se compose d’une calebasse demi-sphérique (de 20 et 50 cm de diamètre) qu’on munit d’un manche de bois sur lequel on tend une peau et à laquelle on ajuste une corde faite de crins de cheval ; un chevalet, formé de deux petits bâtons croisés et liés ensemble, maintient la corde au dessus de la peau, généralement deux ouïes sont pratiquées dans la peau. Il n’y a pas de cheville ; à chaque extrémité de la corde est attachée une mince lanière de peau, dont l’une passe sur l’extrémité du manche et s’y noue, l’autre s’accrochant à l’extrémité du manche. Une fine lanière de peau nouée au manche maintient la corde contre celui-ci. On en joue assis, l’instrument sur les genoux, la main gauche tenant le manche et pressant la corde, la main droite tenant l’archet. L’archet est une baguette recourbée en forme de demi-cercle entre les extrémités de laquelle est tendue une corde en crins de cheval. » Père Charles de Foucauld